Alberto est l’une des plus grandes voix du Flamenco en France.

À ses débuts en 1997, il s’est produit aux côtés de Jean Marais dans L’Arlésienne aux Folies Bergères, et a participé aux tournées de Le Cid Flamenco de Thomas Le Douarec en France (Théâtre la Madeleine, Théâtre Marigny…) et à l’étranger.

Alberto se produit aux côtés des musiciens et danseurs français les plus remarquables. Il est également sollicité pour se produire auprès d’artistes espagnols de grande envergure tels les chanteurs Curro Fernandez, El Extremeño, les danseurs Rafael de Carmen, Andrés Peña, Ramon Martinez, Alfonso Losa, Ana Morales, et les guitaristes Jesus Guerrero, Oscar Lago, les frères Iglesias et Canito. Il partage également l’affiche de grands festivals avec des figures telles Manuel Agujetas, El Cigala, Mercedes Ruiz… et a le privilège de faire la première partie des spectacles d’El Grilo, de la Paquera de Jerez.

Ouvert à d’autres influences musicales, il passe un mois en Inde avec Mariano Cruceta pour la création « Inde Fusion », participe à « Entre ciel et terre » de Rurkmini Chaterjee et au spectacle « Gipsy Connection » produit par Sons du Monde, projets dans lesquels il collabore avec des musiciens indiens. Le jazzman Pierre Bertrand (directeur du Paris Jazz Big Band) fait appel à lui pour son premier album Caja Negra.

En 2006, il est invité par le Grand Orchestre Andalou d’Israël et fait une tournée dans les plus importantes villes du pays. Vicente Pradal l’intègre dans sa création El Divan del Tamarit, mise en scène par José Manuel CanoLopez, puis en 2008, dans Yerma, son dernier spectacle, créé et joué pendant trois mois à la Comédie Française à Paris. La même année, il participe à Questcequetudeviens, spectacle mis en scène par Aurélien Bory pour la danseuse Fani Fuster dont la première mondiale a eu lieu au TNBA de Bordeaux et qui a été joué au Théâtre Vidy à Lausanne, au Théâtre des Amandiers, à Malaga au Canovas, Séville au Théâtre Central, Grenade au Théâtre de l’Alhambra.

Depuis début 2011, il collabore avec le pianiste Alexandre Tharaud, sur l’oeuvre de Domenico Scarlatti, dont la première s’est joué à la MC2 de Grenoble (38ème Rugissants), puis au Festival Amadeus (Genève) et à la Salle des Pas Perdus (Poitiers).